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I.M.P.A.C.T.

I am a storyteller. I use to play in street theatre festival as a dance-theatre actor. I play music and Read More
  • Joined Feb 2014
  • Published Books 20
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« Le théâtre est un rituel de guérison puissant. Pour les acteurs et pour le public. La vie peut-être aussi considérée comme une pièce de théâtre où vous jouez le rôle qui vous donne le plus de confort.

En pratique nous allons faire un petit voyage shamanique, bouger notre corps, exprimer nos émotions, toucher notre être authentique, retrouver notre centre, créer de l’intimité entre nous et probablement changer notre histoire, notre vie d’une manière responsable, créative et inattendue. » Olivier Jost

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Nous allons créer un lieu sûr où vous allez recevoir des outils pour exprimer vos émotions, la possibilité de raconter votre histoire et peut-être nettoyer votre corps de vos vieilles croyances.

Vous allez avoir la chance de prendre la responsabilité d’une nouvelle histoire.

IMPACT group, c’est de l’improvisation, du mouvement, une présence active et créative à travers le théâtre pour une plus grande prise de conscience.

Cette expérience unique vous sera donnée par un « Possibility Manager », avec des compétences en tant qu’acteur et en direction d’acteurs.

 

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We will create a safe place were you’ll received tools to express your feelings, opportunity to tell your story and maybe clean your body from old pattern or false- belief. You will have the chance to take responsibility for a new story.
This I(improvisation) M(movement) P(presence) A(active) C(creative) T(theatre) group will lid us to a better presence in our life.

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J’ai 74 ans.

Cependant, je me sens comme un enfant, affirmait Nisargadatta Maharaj.

Je sens clairement que, malgré tous les changements, je suis un enfant.

Mon guru m’a dit: ” Cet enfant qui, encore maintenant, est vous, est votre vrai soi (swarupa).

Revenez à cet état de pur être où le “je suis” se trouve encore dans sa pureté, avant qu’il n’ait été contaminé par “je suis ceci” ou je suis cela”.”

 

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Il n’y a vraiment aucune raison de souffrir.

La seule raison pour laquelle vous souffrez est que vous l’avez choisi.

Si vous regardez votre vie, vous trouverez de nombreuses excuses pour souffrir, mais vous ne trouverez aucune raison. La même chose vaut pour le bonheur. La seule raison pour laquelle vous êtes heureux est parce que vous en faites le choix. Le bonheur, tout comme la souffrance est un choix.
Il est possible que nous ne puissions échapper à la destinée ou en jouir. Souffrir, ou aimer et être heureux. Vivre en enfer, ou vivre au paradis. Mon choix est de vivre au paradis. Quel est le vôtre?
Don Miguel Ruiz
Les 4 accords Toltèques (la voie de la liberté personnelle)

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En tant que conteurs nous entendons ou lisons des histoires,
ensuite nous les transmettons au mot pour mot ou
nous les transformons à notre sauce.
Lorsqu’il nous arrive des événements importants, pour ne pas dire traumatisants, nous créons de toutes pièces l'”histoire” à partir de notre magnifique et pourtant minuscule point de vue et nous finissons par croire à cette nouvelle réalité, que l’on soit victime ou bourreau. Cette “histoire” devient notre “réalité”.
Et si nous commencions à écrire une nouvelle histoire et y croire vraiment.
Et si commencions à clarifier notre vision. De quoi avons peur au fond?
Peur de ne pas atteindre notre objectif ou peur de devenir des êtres magnifiques et lumineux?

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Venez

créer les

premiers mots d’une nouvelle histoire,
lors du workshop IMPACT et

commencer à vous re-construire,

un mot après l’autre.

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Voici une histoire de la tradition chinoise suivi par “son enseignement”:

source http://history.cultural-china.com/en/38History9869.html

 

 

The Foolish Old Man of the North Mountain,

nearly ninety years of age,

lived behind two high mountains.

He was unhappy about the fact that the mountains blocked his way to the south,

so he called the whole family to level the two mountains.

While they were working, The Wise Old Man at the River Bend stopped the old man. He laughed and said, “How unwise you are! At your age, old and feeble as you are, you cannot even remove one hair on the mountain, let alone so much earth and so many rocks!”

 

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The Foolish Old Man had a long sign and said:

” When I die, there will be my sons, who will have their sons and grandsons. Those grandsons will have their sons and grandsons, and so on to infinity. But the mountains will not grow. Why is it impossible to level them?”

The Wise Old Man could not answer him.


Finally, a god of the mountains was touched by their actions and he helped them finished the road quickly. This fable teaches us, no matter how difficult a thing is, as long as we persist, we shall definitely succeed.

 

 

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Êtes vous en accord avec cet enseignement?

 

Si vous étiez conteur,

comment la raconteriez vous?

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Dans cet article qui va alimenter notre travail en profondeur,

nous retrouvons le conte chinois du vieux fou qui décide un jour de

« commencer à déplacer une montagne ».
Comme nous pouvons le voir, Alexandro Jodorowski, reprend l’histoire à sa sauce,

il y ajoute « des enfants rachitiques »,

probable symbole de son état intérieur,

de sa vie en manque de lumière, c’est à dire de sens, de vision. 

Ce conte va être le point de départ d’un renouveau,

d’un réveil, suivi d’une action concrète.

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Lors de la ballade contée au parc Crousse début juillet, j’ai conté la version de Jodorowski, mais j’ai laissé le vieux répondre, c’est-à-dire, j’ai ouvert la possibilité au public de parler à la place du vieux.

Et là, un homme d’âge mûr déclama cette fin : « Point n’est besoin d’espérer pour entreprendre. »
Alors, si nous le voulons profondément,
soyons les entrepreneurs pour un monde meilleur et
cherchons ensemble le chemin vers la lumière, notre lumière.

 

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Voici le prologue d’Alexandro Jodorowsky pour son Cabaret mystique:

Quand j’ai été las d’accoucher d’oeuvres qui n’étaient que des miroirs de mes ego,

j’ai abandonné l’art pendant deux ans.

En m’oubliant moi-même, toute la douleur du monde m’est tombée dessus.

Pris par leur vie laborieuse, n’étant pas dans l’être mais dans le paraître, les citoyens, comme moi, avaient perdu la joie de vivre.

Apaisés par les drogues, le café, le tabac, l’alcool, le sucre, l’excès de viande, sans illusions sur la politique, la religion, la science, l’économie, les guerres « patriotiques »,

la culture,

la famille,

tristes animaux sans finalité portant des masques de satisfaits, nous nous promenions dans les rues d’une planète dont nous savions que nous étions peu à peu en train de l’empoisonner. La maladie de notre société était profonde, un très vieux conte chinois m’a tiré de l’abîme :

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{Une grande montagne couvre de son ombre un petit village. Privés de soleil, les enfants sont rachitiques. Un beau jour, les habitants voient le plus ancien d’entre eux de diriger vers les abords du village, une cuillère en céramique dans les mains.

– Où vas-tu ? lui demandent-ils.

– Je vais à la montagne.

– Pour quoi faire ?

– Pour la déplacer.

– Avec quoi ?

– Avec cette cuillère.

– Tu es fou ! Tu ne pourras jamais !

– Je ne suis pas fou : je sais que je ne pourrai jamais, mais il faut bien que quelqu’un commence.}

Le message de ce conte m’a poussé à l’action. Je me suis dit : « Je ne peux changer le monde, mais je peux toujours commencer à le changer. »
L’article et sa suite très intéressante et enrichissante à

http://www.cles.com/bonnes-feuilles/cabaret-mystique

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 Lorsque vous contez ou faites un spectacle de rue et même de salle, il y a toujours des éléments extérieurs qui viennent perturber le cours de votre spectacle. Deux possibilités évidentes s’offrent à vous: celle que la plupart des acteurs de scène utilisent, c’est de ne pas réagir, de rester concentrer.
Une scène extraordinaire, qui me revient à l’instant, est celle au début du film “Le Pianiste” de Roman Polanski, alors que Varsovie, je crois, est bombardée, ce sublime acteur, Adrien Brody, continue à jouer Chopin en direct à la radio. “The show must go on”, telle est la première voie. La seconde voie est de se consacrer entièrement a cet événement imprévu et de jouer avec lui. On retrouve cette technique dans le “Lazzi” de la Comédia dell’arte ( L’Art (Arte) de l’acteur improvisateur réside alors dans sa capacité pure d’improvisation .)

 

 

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Cette technique d’improvisation est fortement développée dans le théâtre de rue car souvent, c’est la seule manière de garder son public en éveil, ancré dans le moment présent.

Le risque évidemment est de perdre le fil du spectacle.
Si nous regardons la vie comme un spectacle dans lequel nous jouons un rôle social confortable et dont une des fins serait un objectif personnel à atteindre, comment réagissez-vous à l’imprévu?

Ouvrez-vous la place à de nouvelles possibilités?
Pour être ouvert à de nouveaux possibles il faut, je pense, développer la confiance en soi, et apprendre à garder son centre. Je vous propose, lors du workshop IMPACT, des outils pour garder votre centre, tout en profitant de l’imprévu.

Alors welcome.

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Rencontre d’un pauvre avec une étoile filante

Il était une fois un jeune homme très pauvre.

Il n’avait rien que ses yeux pour voir le ciel à l’horizon.

Il n’avait rien que ses mains pour cueillir ce qu’il pouvait trouver pour se nourrir.

Il n’avait que ses jambes pour courir les chemins et gravir les montagnes.
Lors d’une nuit d’été pleine d’étoiles,

assis sur un rocher au bord d’un sentier,

alors qu’il se lamentait sur son existence misérable et qu’il rêvait de fortune,

une étoile filante, sans doute égarée se posa sur la cime d’un if tout proche et s’adressa au vagabond d’un air tout effronté :

– Cherche le trésor et tu deviendras riche !
Puis elle disparut.

 

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Le jeune homme très pauvre et n’ayant rien à perdre obéit aussitôt et partit se mettre en quête du trésor.

Il parcourut tous les continents.

Il traversa toutes les mers et tous les océans.

Il fouilla toutes les îles. Il sillonna tous les déserts.

Il fit la rencontre de toutes sortes de gens, de toutes les idées, de tous les âges et de toutes les couleurs.

Mais jamais il ne put mettre la main sur le trésor tant convoité. De retour à son point de départ longtemps, longtemps plus tard il retrouva son rocher, plein de fatigue et de désespoir d’avoir tant cherché sans pouvoir rien trouver.

L’étoile filante réapparut alors et lui dit
– Regarde comme tu es devenu riche aujourd’hui de tous ces voyages, de toutes ces découvertes, de toutes ces rencontres, de tous ces rêves partagés…

Ton trésor, mon ami, c’est ta vie !

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Nous trouverons toujours mille et une excuses pour justifier nos frustrations, notre non-réalisation.
Nous nous plaçons alors dans le rôle de la “victime”. Notre enfant blessé se complaît dans ce rôle, il empêche l’adulte responsable que nous pourrions être de changer en profondeur et de réaliser son être, son rêve, sa voie.
Pour commencer il nous faut prendre la responsabilité de nos blessures. Accepter ou, en tout cas, essayer d’imaginer que nos blessures ne sont pas arrivées par hasard, que notre âme nous les a infligées et nous les inflige encore pour nous permettre de grandir.

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Commencer à raconter notre tragédie personnelle en prenant la responsabilité de cette tragédie c’est déjà un énorme changement.

Par exemple, au lieu de raconter à quel point votre vie à sombrer lorsque vous avez perdu un être très cher, dire en quoi vous avez bien profité de cette disparition et réfléchir depuis, ce que je pourrai appelé, votre part sombre.

Tous ces événements nous donnent finalement de belles excuses pour que les autres s’occupent de nous, nous plaignent, soient responsables à notre place.

Non peut-être?
La seule personne qui peut réellement prendre soin de votre enfant blessé, c’est vous. Observez à quel point il a pris toute la place, laissant l’adulte responsable que vous êtes à la porte de sa chambre d’enfant.
Peut-on me faire une critique sans que je sois heurté?
Peut-on me donner un conseil sans que je me sente envahi, abusé, volé?

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Un mendiant se montre à la porte principale du palais de l’empereur. Il dit aux gens de la maison qu’il met l’empereur au défi de remplir son bol. L’empereur entend la conversation depuis le jardin et accourt. Il s’approche du mendiant et lui dit : « C’est ridicule, je suis riche, je vais le remplir sans problème ». Il envoie donc un serviteur chercher des bijoux. Or, comme il les place dans le bol, ceux-ci immédiatement s’évanouissent. L’empereur se saisit d’autres joyaux, de barres d’or et d’argent, de lingots et à chaque fois, ils disparaissent. A la fin, il ne lui reste plus rien.
– Comment cela se produit-il ? demande alors l’empereur au mendiant. Qu’est-ce que ce bol ?
– Le bol, répond le mendiant, c’est l’esprit.

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Cette petite phrase inventée, a priori, par Coluche, est d’une beauté profonde, drôle et dramatique. Oui, quelle étagère ? Quel tiroir ? Quel « Box » vous définit, vous protège, vous donne une réalité sociale dans laquelle vous vous sentez confortable ? Mais est-ce vraiment vous? Cet être qui erre et qui dit je suis « maçon », « chômeur », « musicien », «artiste », « poète », « clown », « bouffon », « Charlie », « pas Charlie », « comptable », « conteur », de gauche ou de droite, peu importe ; cet être a-t-il envie d’aller en profondeur, au fond de son tiroir pour se découvrir? Etes vous prêt à savoir ce que les autres voient en vous, au delà de votre image sociale, derrière votre paraître, votre beauté?
Il faut du courage sans doute, ensemble nous le trouverons, nous nous trouverons, nous retrouverons. Bienvenue.

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Lors de cet IMPACT, vous recevrez des techniques « psychomagiques » pour accueillir sainement la colère des autres et un espace théâtralisé pour exprimer la vôtre.
Une technique « psychomagique », terme inventé par Jodorowski, est un rituel particulier, souvent « sur mesure », qui s’adresse à notre inconscient.
Ici, il s’agira de recevoir des outils « imagés » pour détourner la colère de l’autre et, malgré tout, entendre le message profond qui nous est destiné.
Personnellement, lorsque j’ai reçu ces outils et changé le jugement que j’avais sur la colère, j’ai pu soutenir plus de 8 heures de colère de ma chère épouse !

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Voici un petit conte, fort à propos, pour alimenter les débats :

Il était une fois un jeune garçon colérique. Son père lui donna un sac de clous et lui dit d’en planter un dans la clôture du jardin chaque fois qu’il perdrait patience et se disputerait avec quelqu’un.

Le premier jour, il en planta 33 dans la barrière.

Les semaines suivantes, il apprit à se contrôler et le nombre de clous plantés dans la barrière diminua jour après jour.

Il avait découvert qu’il était plus facile de se contrôler que de planter des clous…

Finalement arriva le jour où le garçon ne planta pas le moindre clou dans la barrière.

 

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Alors il alla voir son père et lui dit que pour ce jour, il n’avait pas planté de clou.

Son père lui dit alors d’enlever un clou dans la barrière pour chaque jour où il n’aurait pas perdu patience.

Les jours passèrent et finalement, le garçon put dire à son père qu’il avait enlevé tous les clous de la barrière.

Le père conduisit son fils devant la barrière et lui dit:
“mon fils, tu t’es bien comporté,
mais regardes tous les trous qu’il y a dans la barrière.
Elle ne sera plus jamais comme avant.”

 

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Lors de cet I.M.P.A.C.T.

je vais vous transmettre des outils qui ont changé ma vie,

en toute amitié et authenticité,

pour que nous puissions partager un monde meilleur.

 

SAVE THE DATE.

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LA LEGENDE DES HOMMES-QUI-SAVENT-ALLUMER-LE-FEU

 

C’est une légende que l’on se raconte encore dans des tribus primitives d’Afrique ou d’Océanie. On raconte cette légende lors d’une grande fête, la fête du feu.

Les enfants entendent chaque année la même histoire; tous la retiennent par cœur et quand ils sont adultes ils racontent cette histoire à leurs enfants. Un ancien de la tribu raconte :

II y a très, très longtemps, il s’est passé dans notre tribu un événement dramatique. C’était un jour de tempête. Le feu, ce feu si précieux qui brûle jour et nuit au centre du village s’est éteint. C’est la stupeur! Personne ne parvient à rendre vie au feu. Le feu est mort définitivement (cette tribu ne connaissait pas la pierre à feu).

 

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Les jours passent.

On mange froid, toujours froid.

Les nuits sont longues, si longues et froides.

Les enfants sanglotent la nuit tandis que les aînés prennent peur.

Quelle désolation dans le village! Beaucoup désespèrent.

On se réunit et on palabre longtemps.
Mais voici que, généreux et décidés, des jeunes de la tribu s’avancent.
Ce sont des gars qui ont l’ambition de servir.
– Nous irons au pays des Hommes-qui-savent-allumer-le-feu, disent-ils, et nous rapporterons la flamme.
Les petits crient de joie; les vieux se mettent à espérer.
C’est une aventure; il faut être fort et organisé, car il s’agit d’aller très loin et de faire vite…

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Voici Bassérac : c’est le chef de la bande, un vrai chef, inventif, courageux, plein de cœur et de sagesse. Avec lui, on ira jusqu’au bout.

Bassérac a construit une “caisse à feu”, une caisse pour garder le feu: une ardoise sert de fond et les côtés sont faits d’ardoises avec de petites ouvertures pour permettre à l’air de passer.
La flamme y sera gardée comme un bijou dans son écrin.
Cinq gars forts et disciplinés accompagnent Bassérac. Celui-ci prend la parole:
– Pour rapporter le plus rapidement possible le feu, nous allons organiser des relais. Tous parcourent une première étape. Le chef poste là UIric qui assurera le dernier relais. Les cinq autres continuent; une deuxième étape et c’est Vabo qui est posté; après la troisième, c’est Gensic; pour la quatrième c’est Sirca; pour la cinquième Ouata.

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La même consigne pour tous: “Attendez à votre poste et levez-vous dès que vous verrez arriver le feu.”
Bassérac franchit seul la dernière étape. Il est sans crainte et, s’il le faut, il renversera les obstacles.
Le voici enfin devant les hommes-qui-savent-allumer-le-feu :
– Ô frères lointains, dit-il, écoutez ma demande: elle est celle de toute une tribu en détresse.

Je désire pour tous ceux de ma terre lointaine la fleur rouge qui réjouit les yeux et fait chanter le cœur des hommes.

Je désire la flamme claire qui chasse le noir de la nuit.

Je désire le feu qui brille et qui illumine,

qui réchauffe et qui guérit,

qui cuit notre pain et qui nous fait vivre.

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Les Hommes-qui-savent-allumer-le-feu l’ont écouté. Ils discutent entre eux. Leur chef parle:
– Etranger, tu recevras le feu. Mais, à une condition: sauras-tu garder ce feu pour le transmettre ?
Le jeune homme se lève hardiment, montre à tous la caisse qu’il a préparée et les branchages dont il s’est muni. Il proclame avec assurance:
– Oui, si je reçois le feu, je le jure, je le garderai pour le transmettre aux gens de ma tribu.
– Bien, répond le chef, nous te donnons le feu, car je sais que tu ne le laisseras pas mourir.
Tout joyeux, Bassérac s’encourt, emportant son précieux trésor: le feu. Tout en sueur et rompu de fatigue, le voici devant son compagnon Ouata.
– Ô mon compagnon, dit-il, ô mon frère, reçois le dépôt sacré du feu. Sauras-tu le garder et le transmettre ?
– Aie confiance, Bassérac, j’ai préparé un fagot de branches sèches que le feu aime;
il ne s’éteindra pas. Je saurai le garder et le transmettre.
Ouata prend le relais.

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Quatre fois encore, la même scène se reproduit. A chacun des relais, la phrase solennelle est prononcée. Chacun promet, reçoit le feu, puis court jusqu’à l’étape suivante. Ulric prend le dernier relais. Fatigué et heureux à la fois, il pénètre dans le village.
– “Le feu, le feu, UIric apporte le feu”, crient les enfants. Les plus jeunes, les anciens, tous accourent.
Au milieu du village, on a préparé des brindilles, du bois tendre, ce bois que le feu aime. Et alors, Ulric dépose son précieux trésor. Il transmet la flamme. Une gerbe de feu jaillit au milieu de la tribu.
On est sauvé, le feu est là. La vie va renaître.

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Ce soir-là, ce fut la fête jusqu’au petit matin.

Que la nuit était belle.

On fit des rondes de joie autour du feu nouveau.

Et chaque année depuis des années et des années, toute la tribu se réunit pour une grande fête, la fête du feu. On se souvient de Bassérac et de ses compagnons.

On raconte leur histoire et ainsi se transmet la légende du feu.

Mais c’est autour du feu que l’amitié entre les gens de la tribu se ranime, se rallume, se refait chaque année.
Le feu rappelle à tous que l’amitié entre eux ne peut pas s’éteindre. Et les anciens disent:
– Si l’amitié vient à mourir, le feu s’éteindra.

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Voici des extraits choisis de Jean-Louis Barrault, acteur, metteur en scène et directeur de théâtre, disciple de Antonin Artaud.

Ces extraits, sont arrivé jusque chez moi grâce à un livre que m’a offert ma grand-mère paternel “mémé Dédé”: J’aime la Mime, Éditions Rencontre, Lausanne.

Ce livre est des plus précieux, je le garde comme un trésor, espérant un jour le jouer. Chacun de nous porte en lui des rêves, souvent illusoires, parfois dérisoires, qu’il garde en lui jusqu’au grand soir.

Et pourtant, nous pourrions les réaliser à tout moment, avec une vision claire et osant lancer la première pierre.
Et si la première pierre était IMPACT avec vous-même?

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“Quel est ce monde intérieur qui m’a été confié pendant mon existence? Un monde fragile qui ne peut pas vivre par lui-même, un monde mortel. Dès que je me suis trouvé en possession de ce monde intérieur, j’ai été mis à mort. Ma vie est une mise à mort. Mes conduites seront donc une lutte contre la mort, une lutte contre la montre, une lutte contre le temps. Un seul mot d’ordre doit être lancé dans ce monde intérieur qu’est le corps : retarder l’heure de capitulation, retarder l’ «heure de vérité». Dès lors, depuis l’extrême pointe des cheveux, jusqu’à la pointe de l’orteil, toutes les parties de ce corps sont mises en état d’alerte.

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Les ressources de ce corps sont infinies.

Chacun de nous tient à sa disposition un monde, un monde parfait, compliqué, complet. Exacte réplique du monde extérieur.
L’homme, dans sa trajectoire terrestre,

se tient donc à la frontière du microcosme (soi-même) qui est le reflet mystérieux du macrocosme (l’univers).

La vie qui brille dans le ciel se reflète en nous au centre du cœur, comme la lune dans l’eau glauque d’un puits. ”
(Extraits choisis de « L’homme et soi », Jean-Louis Barrault, 1959)

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Parfois le corps doit être le “mot”,

le corps doit exprimer les maudits maux non-dits.
Souvent, malgré lui, il le fait en créant une maladie,

par maladresse manque de tendresse.

Et si on lui laissait la possibilité de se dire sans mot,

serait-ce une danse macabre, un ballet ou une transe?

 

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Yesiam,

prononcé “Yes I am”,
éminent professeur de lettres,
à deux têtes, trois jambes et quatre mains.
L’Idéal inutile.

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Méditation sur les enseignements de don Juan Matus, sorcier indien Yaqui à Carlos Castaneda, alors jeune ethnologue sorti de l’université de Los Angeles :
« On doit prendre la responsabilité d’être là, dans un monde étrange. Tu sais, nous sommes dans un monde étrange.
J’acquiescais de la tête.
« Nous ne parlons pas de la même chose, reprit-il. Pour toi le monde est étrange parce que s’il ne t’ennuie pas tu es en désaccord avec lui. Pour moi le monde est étrange parce que prodigieux, effrayant, mystérieux, incommensurable. L’intérêt que je te porte consiste à tenter de te convaincre qu’il faut que tu apprennes à faire en sorte que chaque acte accompli compte, car tu ne vas rester que peu de temps sur cette terre, en fait trop peu de temps pour découvrir toutes les merveilles qu’il contient. »
J’insistai sur le fait qu’être ennuyé par le monde ou ne pas être en accord avec lui était immanent à la condition humaine.
« Alors change-la, rétorqua-t-il sèchement. Si tu ne relèves pas ce défi, tu ne vaux pas mieux que mort. »

Voyage à Ixtlan, Carlos Castaneda

 

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Petit, une chanson de Reggiani me faisait énormément réfléchir : « ha que je voudrais être, ce Monsieur qui passe… »
Ado, une phrase de mon premier auteur perturbateur, Nietzsch, me revenait toujours à l’esprit: « Deviens ce que tu es ».
Homme, en cet instant marquant, je veux prendre la responsabilité d’être ce que je suis, mon soi supérieur. Pas cet « autre », ce « Monsieur qui passe » qui n’est que mon miroir déformant,
ni un de mes multiples « moi », aussi bien égoïstes qu’égotistes.
Non je veux être mon soi et que le nous devienne “Noyau”,
le noyau d’un nouvel arbre.
Que ma vôlônté soit “Fête”, soit “Faire”, savoir faire savoir un pacte.

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Voici un conte qui connaît de nombreuses versions, du Tibet au Japon,
pour tous conteurs plein d’imagination, parfois même le tailleur est un petit buisson.

Le tailleur de pierre

“Il était une fois un tailleur de pierres qui en avait assez de s’épuiser à creuser la montagne sous les rayons du soleil brûlant.
“J’en ai assez de cette vie. Tailler, tailler la pierre, c’est éreintant… et ce soleil, toujours ce soleil! Ah ! Comme j’aimerais être à sa place, je serais là-haut tout puissant, tout chaud en train d’inonder le monde de mes rayons” se dit le tailleur de pierres.
Or, par miracle, son appel fut entendu. Et aussitôt le tailleur se transforma en soleil. Il était heureux de voir son désir réalisé. Mais comme il se régalait à envoyer partout ses rayons, il s’aperçut que ceux-ci étaient arrêtés par les nuages.
“A quoi ça me sert d’être soleil si de simples nuages peuvent stopper mes rayons ! s’exclama-t-il Si les nuages sont plus forts que le soleil, je préfère être nuage”

 

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Alors, il devient nuage. Il survole le monde, court, répand la pluie, mais soudain le vent se lève et disperse ce nuage.
“Ah, le vent arrive à disperser les nuages, c’est donc lui le plus fort, je veux être le vent” décide-t-il.
Alors il devient le vent et il souffle de par le monde. Il fait des tempêtes, des bourrasques, des typhons. Mais tout d’un coup, il s’aperçoit qu’il y a un mur qui lui barre le passage. Un mur très haut et très dur. Une montagne. “A quoi ça me sert d’être le vent si une simple montagne peut m’arrêter ? C’est elle qui est la plus forte ” dit-il. Alors, il devient la montagne. Et à ce moment, il sent quelque chose qui le tape. Quelque chose de plus fort que lui, qui le creuse de l’intérieur…

C’est un petit tailleur de pierre !

 

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Le processus de transformation commence à chaque seconde,
à la seconde où vous le décidez,
à la seconde où vous vous remémorez que le monde est votre création.
Le véritable trésor c’est la carte au trésor que je dessine depuis ma vision du moment.
Le chemin pour arriver à ce trésor, à cette lumière intérieure, c’est la vie pleinement vécue. 
Le processus commence souvent par « je n’y arrive pas», accepter son enfant blessé, le consoler puis aller de l’avant. Shift and go.
Voici une petite vidéo du stage qui a révélé mon chemin de “croire”.

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Pendant des années j’ai lu et relu « Shambhala » la voie sacrée du guerrier de Chögyam Trungpa.
Un jour, j’ai fait le pas, je me suis renseigné,
j’ai suivi les enseignements à Maastricht (Shambhala Bruxelles n’existait pas encore)
et puis je suis arrivé au niveau 5, celui de « guerrier ». Toute l’assemblée a crié Ki Ki So So Ki Ki So So.
Depuis cette glorieuse époque je médite tous les matins à 5 h 30, pendant 40 minutes. C’est la seule réalisation dont je peux être vraiment fier et cette discipline est mon meilleur médicament pour tous les maux de la vie.
Mais au fait, qu’est-ce qu’un « guerrier » ?
“Le lâche prend refuge dans une arme, un pistolet en se croyant un guerrier, le véritable guerrier prend refuge dans sa propre bonté. Il n’est ni arrogant, ni agressif. Il est doux, ouvert et pourtant ferme et solide. Doux comme le calme de la mer, ouvert comme le ciel, ferme et solide comme la montagne.” GyétrulJigmé Rinpoché .

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Bas les masques
Lors de l’atelier IMPACT du 14.3.2015 je vous propose de prendre conscience du rôle social que vous jouez dans la vie. Considérez vous être une « victime » de la société, d’un trauma arrivé dans votre vie, de votre famille? Considérez vous être un « persécuteur », un bourreau des cœurs, ou un être autoritaire, culpabilisant, jugeant, colérique, inflexible, quelqu’un qui force le respect par son (abus de) pouvoir ?
Ou encore un « sauveur », être qui veut toujours résoudre les problèmes des autres, qui trouve toujours des solutions, qui veut aider, adoucir ?
Bien souvent nous passons d’un rôle à l’autre, continuant dans notre vie, notre couple, notre travail, à entretenir un « low drama », un petit drame. Ce petit drame est une zone très confortable pour nous, c’est notre cocon. Nous nous attachons à ce drame car il nous permet d’avoir toutes les excuses pour ne jamais changer. 

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Alors je vous propose d’expérimenter une nouvelle approche, celle de l’adulte responsable qui prend son histoire en main et prend la responsabilité de ses actes, en toute conscience, avec une épée bien tranchante, mais dans la douceur et la confiance. Bienvenue.
Allons, prenez donc la responsabilité de venir ou de ne pas venir, de dire “oui” c’est le bon moment, cela me parle ou de dire “non”, ce n’est pas pour moi. Qu’est-ce qu’un “peut-être” ? Je préférerais que vous disiez
« non » clairement et que finalement vous veniez, ou « oui » je décide de m’engager mais que la vie vous amène ailleurs. Courage, « oui » ou
« non » , fini les « peut-être », si je vais avoir l’argent, si mon partenaire me laisse le samedi sans enfants, s’il pleut, si, si, si…

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Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés, atterrés, observaient impuissants le désastre. Seul le petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu. Après un moment, le tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit : « Colibri ! Tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ! »

Et le colibri lui répondit :« Je le sais, mais je fais ma part. »

Pierre Rabhi

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Je prends une graine, je la plante, je lui mets de l’eau, je la mets au soleil, doucement elle pousse, trop doucement à mon goût, finalement je ne m’en occupe plus, elle meurt. Parfois j’accuse les autres de ne pas s’être occupé assez bien de ma plante et je la détruis. Quoi qu’il en soit cette graine ne deviendra jamais un arbre, sauf si, sauf si, je recommence, je prends la responsabilité de m’occuper de ma graine (ma vision, mon objectif, mon rêve, mon enfant), tous les jours je lui donne de l’eau, du soleil, de l’amour. Je coupe les petites feuilles mortes, je lui porte de l’attention tous les jours, j’accepte les saisons, je suis patient, aimant, à l’écoute de ses besoins, et un jour je me retrouve sous mon arbre et de toute sa splendeur il me remercie en me donnant un peu de son ombre et beaucoup de sa présence.

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Lorsque j’ai intégré la chorale Patshiva, Jessica m’a demandé ce que je faisais et j’ai dit « conteur ».
Chaque fois que l’on me pose cette question, je me sens envahi d’un doute. J’essaie de coller des mots, les plus près de la réalité du moment, tout en sachant que l’autre, celui en face de moi a déjà vu derrière la façade du paraître.
Suis-je “homme-nuage”, “danseur sacré”, “écrivain chanelliste”, “conteur pantomime”, “acteur de rue”, “créateur de jeux”, “chanteur polyphonique”, “compositeur méditatif”, “pianiste délicat”, “chansonnier”, “shaman zoublistanais”, “vieux PapooZ”, ou plus simplement “Toltèque”, c’est-à-dire « artiste » dans la langue quechua ? En fait je crois que je suis tout cela à la fois, j’ai surtout besoin de descendre de mon nuage et honorer la vie de qui je suis. IMPACT

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Super Mana

Venez redécouvrir votre Mana et devenir les Super héros de votre vie.
Il ne s’agit pas du « pouvoir » qui abuse, qui oblige mais celui qui émane de nous lorsque nous nous relions au sens profond du « sacré », la vie qui se crée en toute conscience et responsabilité.

« En langue maori actuel, Mana peut se traduire littéralement par « pouvoir »… Le Mana est le pouvoir spirituel, irrationnel et exceptionnel que possèdent des divinités spécifiques, des esprits, des individus, des rites ou des objets. Par essence, il est à la fois une vertu naturelle et surnaturelle.
Chez un être, le Mana est à la fois l’émanation et la qualité de l’âme. C’est ce qui rend plus intelligent, plus fort, plus adroit, plus calme, mieux adapté aux épreuves.
Il procure à son bénéficiaire l’assurance, le prestige, la présence et la confiance de son entourage. Il est ce qui affirme une personnalité. »
B. Putigny , Le Mana éditions Les portes de l’étrange, Robert Laffont

 

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Dans l’article très intéressant appelé «From Devil Dance to World Healing», écrit par Mona Schrempft, la danse tibétaine du diable est considérée d’un point de vue romantique européen comme étant « un rite archaïque d’un temps où l’homme n’était pas complètement isolé du reste de la création » ou encore « une danse évoquant un monde perdu ou oublié ».
Alors je vous propose de retrouver ce lien perdu en créant un cercle sacré, le noyau d’un nouvel arbre ancré dans une relation plus saine entre nous et reliée à la terre, pour transmettre un enseignement spirituel en lien avec notre nature ancestrale, archaïque, d’hommes et de femmes. Nous sommes tous devenus des étrangers de notre propre nature et il est temps de nous révéler, nous relever, nous réveiller. Bienvenue.
Source : http://www.case.edu/…/docu…/FromDevilDancetoWorldHealing.pdf

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Il existe une magnifique histoire de la mythologie nordique, celle du roi Gylfi, qui après avoir été volé par une enchanteresse d’une grande partie de ses terres, est parti, habillé en mendiant, jusqu’au lointain pays des Ases pour savoir si ces Dieux étaient les artisans de leur propre magie ou s’ils étaient, au contraire, eux aussi les marionnettes de divinités supérieures qu’ils adoraient. Enfin arrivé en Asgard, le pays des Ases. Après avoir passé la sentinelle qui jonglait avec 7 poignards, il fut amené (âme née) devant les trois puissants. Il demanda: “Je veux savoir qui est le premier, le plus ancien des Dieux. Je veux savoir ce qu’il faisait avant la création de la terre et du ciel; je veux savoir d’où sont venus les géants de glace et les géants de feu, qui a créé l’humanité, le soleil, la lune et les étoiles. Je veux savoir pourquoi le vent souffle?”
Si vous aussi, tel le roi Gylfi, vous êtes “las du chemin”, venez vous récréez, ensemble nous chercherons de nouvelles pistes, nous créerons peut-être notre propre légende.

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Il n’y a rien d’autre que le moment présent,
présentement le présent te ment,
le pressentiment te presse aux sentiments.
Il s’agit du jour J, jour de joie, de jeu, du je,
à l’IMPACT le “ci-gît notre vieux je” deviendra
ici-naît mon soi, notre soi, ainsi soyons-nous.

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